
“Cette petite île étonnera l’Europe”, écrivit Jean-Jacques Rousseau, sans se douter qu’elle engendrerait un jour le “successeur de Charlemagne”. Bien plus tard, à Sainte-Hélène, en dictant son Mémorial, l’empereur déchu et exilé dira : “Quels souvenirs la Corse m’a laissés ! Je jouis encore de ses sites, de ses montagnes : je la foule, je la reconnais à l’odeur qu’elle exhale.”