Chronique de la Croisette : Cannes, en marches !

Alex Lutz et Monica Bellucci
[caption id="attachment_17586" align="alignnone" width=""]© Benainous+Catarina+Perusseau/Allpix/Photo News Alex Lutz et Monica Bellucci[/caption]

Le Festival fête cette année sa 70ème édition. Plus que jamais, Cannes et le cinéma, tous deux auréolés d’une légende inégalée, attirent les stars et les plus grands cinéastes du monde entier.

Chronique de la Croisette : « Vous m’épargnerez Cannes ? »

Vincent Lindon, Izia Higelin, Severine Caneele, Jacques Doillon
[caption id="attachment_17738" align="alignnone" width=""]© Mehdi Chebil/Polaris/Photo NewsVincent Lindon, Izia Higelin, Severine Caneele, Jacques Doillon[/caption]

Le Festival bat son plein. Mais entre les projections de presse qui s’enchaînent à un rythme effréné (les plus motivés peuvent voir jusqu’à six films par jours !), se produit ce qu’on redoute par-dessus tout.

Chronique de la Croisette : une montée des marches caliente !

© Alberto Terenghi/Cannes / Ipa/Empics Entertainment/Photo News

Mardi, jour férié. Le bitume disparaît sous les voitures de luxe et les festivaliers en tenue de soirée tandis que des spectateurs privilégiés se préparent à la fête. Dès 18 heures, les paillettes sont de retour sur les marches du Palais des Festivals. Une montée des vingt-quatre marches caliente pour la cérémonie d’ouverture de la 71e édition du Festival de Cannes.

Chronique de la Croisette : Colère, amours et récompenses

© Piero Oliosi/Polaris/Photo News

L’attente a été longue. Très longue. Et le suspense entier, au fil des 21 films en compétition. Alors que la mélodie «Avec le temps» (de Léo Ferré) berce l’inéluctable fin du festival, le maître de cérémonie Edouard Baer salue Terry Gilliam dans la salle: «il en a fallu des combats pour être là» lance-t-il au réalisateur de «L’homme qui tua Don Quichotte », film de clôture (et hors compétition). Facétieux Edouard Baer qui s’adresse à la Présidente australienne, dans un anglais «fleuri». «Nous vous admirons» déclare d’emblée Cate Blanchett, rendant un vibrant hommage aux deux grands absents de Cannes, Kirill Serebrennikov et Jafar Panahi, dont les films étaient en compétition.