Cinquante ans après le feuilleton télévisé mythique de Cécile Aubry, Belle et Sébastien, l’aventure continue revient sur grand écran pour les fêtes.
Art & Culture : Cinéma
Le tout nouveau retour de Jaco Van Dormael
Vingt-quatre ans après Toto le Héros, Jaco Van Dormael revient avec Le tout nouveau testament, son quatrième long-métrage. Une fable loufoque, délirante où le cinéaste belge s’est visiblement beaucoup amusé. Rencontre pour Eventail.be.
Olivier Gourmet, nouveau venu dans le Larousse #letedespersonnalites
Les beaux jours sont bien là! Enfin quelques moments de vacances pour décompresser. Parier, bouger, faire du sport ou far niente en profitant du soleil… Huit personnalités en vue partagent leurs secrets de vacances… réussies. A découvrir tout l’été sur Eventail.be!
Le Petit Prince | Concours
Le réalisateur américain Mark Osborne a imaginé l’histoire d’une petite fille qui emménage dans une nouvelle maison, où elle passe des vacances studieuses. Elle y fait connaissance avec son voisin, un vieil aviateur avec lequel elle va découvrir le monde merveilleux de l’enfance qu’elle ne connaît pas vraiment. Autrefois, l’aviateur avait croisé un mystérieux Petit Prince…
Vincent Lindon et la loi du marché…
Dans le formidable La loi du marché, Vincent Lindon incarne Thierry, un chômeur de longue durée qui « réussit » à devenir vigile dans un hypermarché. Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes pour ce rôle, Vincent Lindon reste dans la bulle du personnage et dans l’ivresse d’une récompense tant attendue. Rencontre au Brussels Film Festival à Flagey.
Camille Cottin, On aime l’univers de la royauté
Après la pastille humoristique La Connasse, Camille Cottin déboule dans le film Connasse, Princesse des cœurs. Elle s’amuse. Elle nous en met plein la vue et les oreilles. Rencontre avec une comédienne tous risques.
Triple victoire coréenne à Udine
La 17e édition du Far East Film Festival d’Udine s’est terminée par un plébiscite en faveur du cinéma coréen. Je rappelle que dans ce festival éminemment démocratique il n’y a pas de jury officiel : seuls les spectateurs ont le droit de vote. Ils étaient d’ailleurs plus nombreux que jamais en ce mois d’avril 2015, puisqu’on en a dénombré quelque 60.000. Pas mal pour une petite ville de 98.000 habitants, qui il y a moins de vingt ans commençait à peine à attirer l’attention des cinéphiles les plus pointus.
Udine: L’incroyable richesse du cinéma asiatique
C’est, je l’avoue, un rendez-vous cinématographique que j’attends toujours avec autant d’impatience. Le FEFF (Far East Film Festival) s’est affirmé au fil des années comme le lieu par excellence où découvrir, dans sa diversité, la formidable vitalité de la création filmique en Extrême-Orient. Pendant dix jours, cette petite ville de 98.000 habitants, située entre Venise et Trieste dans la région du Frioul-Vénétie Julienne (épargnée heureusement par le tourisme de masse), vit au rythme des projections, des concerts et des rencontres avec des professionnels (réalisateurs, producteurs, comédiens) venus de Chine, du Japon,de Corée, des Philippines ou d’Indonésie.
Udine, lettre n°2
La géopolitique se glisse décidément partout. Même dans un festival où l’on pourrait penser que l’idéologie n’a aucune place. Dragon Blade, le film d’ouverture du Far East Film Festival, se présente a priori comme un grand spectacle où tous les ingrédients sont réunis : une superstar chinoise (Jackie Chan), des décors somptueux (le désert de Gobi), une figuration impressionnante, des combats chorégraphiés avec panache. Mais à mesure que le récit progresse, on s’avise que cette méga-production (où Hong Kong et la Chine se trouvent associés) contient aussi un message qui a des résonances actuelles.
Clap final sur la 65e Berlinale
Soulagement: le jury ne s’est pas trompé. Il y a 48 heures, je discutais, au sortir de l’émission « Projection privée » animée pour France Culture par Michel Ciment, je discutais, dis-je, avec mes collègues journalistes de la presse internationale, et nous étions nombreux à nous inquiéter du résultat final. On a vu si souvent, à Cannes, à Venise ou à Berlin, des jurys se livrer à des choix aberrants, sans qu’on puisse comprendre leurs motivations. Ici, au contraire, la décision finale me paraît indiscutable.