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Le roi Harald et la reine Sonja de Norvège avaient tenu à maintenir la célébration de la fête nationale tout en modulant son déroulé afin d’être en phase avec les consignes de santé publique.

Quatrième fils du sheikh Hamad et de sa deuxième épouse Mozah bint Nasser al-Missned, Tamim Al Thani va fêter ses quarante en ce début juin. Sur le trône depuis bientôt 7 ans, le sheikh serait le plus jeune chef d’état en exercice. Il dirige l’un des pays les plus prospères de la planète mais aussi l’un des plus controversés pour son rôle ambigu dans certains conflits.

Si les réjouissances vont certes différer des années précédentes, pas question de passer sous silence la fête nationale.

[caption id="attachment_24098" align="alignnone" width=""]La reine s’amusant à découvrir les dessins la représentant [/caption]

Privée des célébrations prévues pour ses 80 ans, la reine Margrethe II de Danemark a toutefois reçu nombre de messages de sympathie mais aussi quantité de dessins. Le gouvernement avait en effet lancé un projet auquel les écoles de 98 communes du pays ont participé avec enthousiasme. Sur le thème ‘Représenter la reine’, les enfants ont rivalisé d’imagination.

[caption id="attachment_24185" align="alignnone" width=""]Le prince Moulay Rahid aux funérailles de la reine Fabiola[/caption]

Cadet des cinq enfants qu’eut le roi Hassan II avec sa seconde épouse Lalla Latifa Hammou, le prince Moulay Rachid travaille dans l’ombre de son frère le roi Mohammed VI, demeurant son plus fidèle soutien. Très discret, il joue pourtant un rôle de premier plan quand le souverain est empêché à cause de sa santé instable. Il fait d’ailleurs partie du conseil de régence si un malheur survenait car le prince héritier Moulay Hassan n’a aujourd’hui que 17 ans.

[caption id="attachment_24246" align="alignnone" width=""]Le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne en visite à Benid[/caption]

À l’image de Philippe et Mathilde, en Belgique, ou de Maxima et Willem-Alexander, aux Pays-Bas, Felipe et Letizia d’Espagne ne ménagent pas leurs efforts pour promouvoir leur pays et aller à la rencontre de leurs compatriotes, durement touchés par la crise sanitaire.

Voici soixante ans, ce mariage unissant deux grandes familles du gotha s’était déroulé dans le plus pur faste germanique comme si les royaumes de jadis n’avaient pas été abolis.

On ne savait pas à quoi s’attendre et finalement, le 21 juillet a tenu ses promesses avec de la joie, des sourires, de l’originalité et beaucoup d’émotion malgré l’absence du public, pandémie oblige !

[caption id="attachment_24309" align="alignnone" width=""]La princesse Béatrice d’York avec son mari le jeune homme d’affaires milanais Edoardo Mapelli Mozzi[/caption]

Il est rare de surprendre les tabloïds britanniques toujours à l’affût des moindres faits et gestes des Windsor et pourtant l’omerta fut totale pour le mariage de la princesse Béatrice d’York avec le jeune homme d’affaires milanais Edoardo Mapelli Mozzi.

Ancrés depuis des siècles dans la politique et la diplomatie, les Bathurst occupèrent des postes clefs au sein du gouvernement britannique, servant déjà, au début du XVIII^e siècle, la reine Anne de Grande-Bretagne, épouse de Guillaume d’Orange. Le premier Baron Bathurst fut élevé au rang de comte en 1772. Son fils, le Baron Apsley fut celui qui fit construire Apsley House. Concédée ensuite au duc de Wellington, elle est depuis cette époque appelée le n°1 à Londres.