À quatre jours du réveillon de Noël, vous cherchez encore désespérément une idée de cadeau ? Direction la nouvelle galerie de Benjamin Steinitz !
Bonnes adresses : Boutiques
Delvaux
Il s’agit de la plus ancienne maison de maroquinerie de luxe au monde et elle est belge. Fondée en 1829 et fournisseur officiel de la famille royale de Belgique depuis 1883, Delvaux fait partie intégrante du patrimoine et de l’histoire du Royaume.
Galerie du Passage
C’est un homme inclassable, qui a eu plusieurs vies, historien de l’art qui s’est formé auprès du très renommé André Chastel, avant de devenir directeur artistique chez Vogue et de côtoyer les plus grands photographes, comme Guy Bourdin ou Helmut Newton.
LNS Gallery
Ils sont deux derrière ce concept de connaisseurs : L pour Luisa (Lignarolo) et S pour Sergio (Cernuda). Partenaires dans le fond et dans la forme, ces deux passionnées partagent tout.
Maison Vervloet
“Lorsque nous avons acquis avec mon épouse notre maison actuelle, il y avait de très vieilles portes pleines de charme mais dont les serrures d’origine étaient hors d’état de fonctionner.
Lingerie : Maison Carine Gilson
À l’occasion de ce jour si spécial, lingerie et robe vont de pair afin de parfaire votre tenue de mariage. Carine Gilson, experte dans le domaine, grande amoureuse de dentelle et de soie, créatrice de parures enchanteresses, nous éclaire sur ce sujet si cher à la gente féminine.
Amélie d’Hooghvorst : chapelière sur mesure
Dans sa boutique-atelier située à Boitsfort, Amélie confectionne principalement des chapeaux pour des mariages.
Benjamin : Liberty Vintage
Cofondateur de Liberty Vintage, Benjamin, trentenaire, a créé cette entreprise il y a un peu plus d’un an. Son but ? Vous aidez à réaliser le mariage de vos rêves grâce à un mobilier digne des comptes Pinterest ou Instagram les plus prisés.
Boutique du musée des Arts décoratifs
“Je ne manque jamais une exposition de ce musée. Je garde encore en mémoire celle, magnifique, consacrée à François-Xavier et Claude Lalanne, ou encore celle de Jean Royère, dont j’apprécie beaucoup le travail.
Alexandre Biaggi
“Je l’ai connu à Drouot, il s’apprêtait à devenir commissaire-priseur et je l’ai débauché : il m’a suivi aux Puces où nous avons eu un stand avec Christian Sapet.