
En choisissant la date du 8 juin pour le baptême de sa fille cadette, la princesse Madeleine se faisait un bien joli cadeau pour ses noces de bois.

En choisissant la date du 8 juin pour le baptême de sa fille cadette, la princesse Madeleine se faisait un bien joli cadeau pour ses noces de bois.

Après les princes héritiers du Japon, Naruhito et Masako, c’est au tour des souverains jordaniens de célébrer leurs noces d’argent.

Comme sa soeur jumelle Maria Gabriela ou son frère Antonio, la princesse Maria Teresa a hérité de la fibre artistique des Orléans-Bragance conjuguée à celle des Wittelsbach, une heureuse alchimie qui l’a poussée à la peinture mais également à la peinture sur porcelaine.

Deux jours de réjouissances saluèrent la Fête nationale luxembourgeoise, version 2018. Comme chaque année depuis 1961, elle se déroule le 23 juin et commémore en différé l’anniversaire du souverain.

C’est à l’invitation du gouvernement et des souverains belges que Sir Peter et Lady Cosgrove ont mené une visite officielle de trois jours en Belgique afin de resserrer les liens scientifiques, économiques et culturels.

Après le rituel des courses d’Ascot se profile la semaine écossaise. En dépit d’une légère indisposition qui a fait craindre un changement de calendrier, la reine n’a pas dérogé à la tradition, remplissant avec le sourire les multiples activités officielles de ce séjour tant attendu.

À peine rentré de Russie, juste après le sommet de l’OTAN, le couple royal s’est envolé pour Londres où il a assisté à une cérémonie en l’honneur des soldats belges tombés durant les deux guerres mondiales.

Depuis la fin du régime de Slobodan Milosevic, le prince-héritier Alexandre de Yougoslavie est rentré dans sa patrie avec l’accord du nouveau gouvernement qui lui a rendu sa nationalité et la jouissance du palais blanc, l’ancienne résidence royale sur les hauteurs de Belgrade.

Cette édition de la Fête nationale fut marquée par les cinq ans de règne du roi Philippe qui furent évoqués en filigranes tout au long de ces deux journées de réjouissances.

Si la république islamique n’avait été proclamée, elle serait aujourd’hui impératrice d’Iran mais aurait-elle rencontré son époux, le fils aîné du Shah, le prince Reza Pahlavi ? …rien n’est moins sûr.