
Manteau rouge vif pour la reine assorti au long tapis déroulé pour l’occasion dans la cour d’honneur de l’Élysée ! La garde d’honneur en grand apparat souhaite la bienvenue au couple royal qui s’avance vers le perron où l’attend François Hollande.
Manteau rouge vif pour la reine assorti au long tapis déroulé pour l’occasion dans la cour d’honneur de l’Élysée ! La garde d’honneur en grand apparat souhaite la bienvenue au couple royal qui s’avance vers le perron où l’attend François Hollande.
Le 26 septembre 1981, la princesse Christine de Ligne, fille du prince Antoine et de la princesse Alix de Luxembourg, épousait au château de Belœil le prince Antoine d’Orléans-Bragance, issu de la branche dynaste de la famille impériale du Brésil. Un mois plus tard, elle s’installait à Rio où elle vit depuis maintenant trente-deux ans. Sans oublier ses racines européennes, la princesse se considère aujourd’hui comme une Brésilienne d’adoption. Quatre enfants sont nés de cette union, le prince Pedro-Luis, décédé en 2009, la princesse Amelia qui s’est mariée en août 2014, le prince Rafael et la princesse Maria-Gabriela. La princesse et le prince ont reçu L’Eventail, chez eux, à Rio.
Comme chaque année, la famille princière reçoit l’aubade des Monégasques au palais à l’occasion de la fête nationale. Cette fois, si la princesse Charlène n’a pas assisté au Te Deum à la cathédrale Notre-Dame-Immaculée et à la cérémonie qui a pour cadre la cour d’honneur, grossesse oblige, son apparition au balcon fut chaleureusement acclamée.
C’est sous des applaudissements nourris que le corbillard transportant le cercueil de la duchesse d’Albe est arrivé à la cathédrale de Séville pour une messe d’adieu en présence de l’infante Elena qui représentait son frère le roi Felipe VI.
De son nom de baptême Kristine Rivelsrud, la troisième épouse du prince Carl Bernadotte s’est éteinte dans le Sud de l’Espagne à l’âge de 82 ans.
Délégation royale réduite pour la célébration du Te Deum à l’occasion de la fête du souverain à la cathédrale des Saints-Michel et Gudule.
Les souverains belges ont toujours bénéficié d’un régime de faveurs outre-Manche et ce depuis le règne de la reine Victoria. La souveraine adorait son cher oncle Léopold. Par ailleurs, Georges V visitait souvent le roi Albert durant la Grande Guerre et lui faisait même envoyer des faisans. Enfin, Elizabeth II assista pour la première fois aux funérailles d’un souverain quand elle vint à Bruxelles pour celles du roi Baudouin.
Après l’avoir rencontré lors d’un sommet, à Berlin, qui réunissait les chefs d’état des pays de langue allemande, le grand-duc Henri a retrouvé Monsieur Joachim Gauck, président de la République allemande et l’a accueilli sur le sol luxembourgeois pour une visite officielle de trois jours.
L’inondation des polders de la vallée de l’Yser fait partie des épisodes décisifs de la Première Guerre mondiale puisqu’elle créa un no man’s land qui retînt les troupes allemandes à l’écart durant quatre ans. Cent ans plus tard, les souverains belges présidaient aux cérémonies du souvenir aux côtés de quatre-vingt trois délégations étrangères venues du monde entier.
Roi devenu Premier ministre de son pays, dernier tsar encore en vie, chef de famille de la branche hongroise des Saxe-Cobourg, cousins de tous les rois d’Europe, Siméon II de Bulgarie occupe une place de premier plan dans l’histoire contemporaine et la sortie de ses Mémoires, publiées chez Flammarion, nous donne l’occasion de le constater.