
Depuis longtemps, le personnel de la famille grand-ducale survit aux rythmes des caprices et des sautes d’humeur de la grande-duchesse Maria-Teresa.

Depuis longtemps, le personnel de la famille grand-ducale survit aux rythmes des caprices et des sautes d’humeur de la grande-duchesse Maria-Teresa.

Un hommage solennel a été rendu à l’infante Pilar au monastère de San Lorenzo de El Escorial, nécropole des rois d’Espagne. La sœur du roi Juan-Carlos qui avait souhaité être incinérée et inhumée aux côtés de son époux au cimetière madrilène de San Isidro n’aura donc point de sépulture ici, dans ce haut-lieu de l’histoire nationale.
La princesse Mary de Danemark est née en Tasmanie, une région australienne[/caption]
Difficile d’imaginer rencontre aussi improbable…celle de l’héritier d’une des plus anciennes monarchies d’Europe et d’une ravissante tasmanienne née à l’autre bout du monde. Aujourd’hui, Margrethe II se réjouit car son fils a trouvé en Mary Donaldson une épouse et une future reine idéales.
Le prince et la princesse Mariano de Windisch-Graetz[/caption]
Son mariage à Salzbourg fut l’un des événements mondains les plus courus de l’année 1990. Voici juste trente ans, le 11 février, l’archiduchesse Sophie d’Autriche épousait le prince Mariano de Windisch-Graetz, chef de la branche aînée de cette maison d’origine autrichienne.

Je déteste les coulisses. Quel vilain chemin que celui qu’empruntent les comédiens pour pénétrer l’envers de ce qui leur servira de lieu de vie durant une heure trente, pour effectuer leur art oh combien noble. La petite porte arrière est toujours grinçante. Il fait froid en entrant. Cela sent l’encaustique et la poussière. La lumière est celle d’un néon blafard. La loge de l’artiste ? Un cagibi à peine plus grand qu’un cachot, avec une table fixée au mur, un miroir à ampoules, un vieux divan éventré et, au mieux, une douche au rideau asséché par des années de projections savonneuses. Le décor ? Pas mieux, vu de l’arrière. Des planches brunâtres, retenus par des étaux et des enclumes pour éviter que les panneaux ne s’effondrent.

Entre émotion, culture et volet très officiel, le voyage des souverains belges à New York fut aussi intense que court.

Le roi Jigme Khesar Namgyel Wangchuck a passé le cap des quarante ans ce 21 février.

Provocatrice à souhait, la princesse punk, jetsetteuse impénitente, s’est aujourd’hui transformée en porte-étendard du catholicisme intégriste, un revirement qu’elle assume pleinement alors qu’elle vient de fêter ses soixante ans.

Tous aux abris ! C’est vrai, s’il y a bien une cause qui nous lie en cette fin d’hiver c’est celle-là : le coronavirus. Il est au-devant de l’actualité depuis plusieurs semaines. On y pense partout : en saisissant son caddie au supermarché. En touchant la main courante de l’autobus. En serrant la pogne de ses collègues pire : en les embrassant ! Remarquez : il est bien difficile de leur dire non, à tous ces férus d’amabilités tactiles. Nous hésitons entre une politesse de bon aloi et une saine précaution. Soit l’on avoue abhorrer tout contact. Soit au contraire on se la joue rebelle, préférant ne pas céder aux sirènes de l’hygiénisme*.

Après des semaines pour le moins compliquées, les ducs de Sussex ont à nouveau foulé le sol britannique. Très médiatisé, ce court séjour marquera le terme du Megxit qui défraie la chronique depuis la fin de l’année passée.